A Tokyo, format réduit, format de voyage, je peins des maisons à la gouache sur des petits papiers achetés sur place. Silhouettes desquelles sourdent des éclats de lumière. Petites lumières pâles, étalées, pointillés minuscules. Peut-être si on s’attarde à regarder, on entendra une voix, le claquement des baguettes contre un bol, une bouilloire qui chante…mais de dehors, on n’entend rien, même à travers ces parois de papier. Rien. Maisons opaques d’où rien ne sort.
De retour en France, je veux retrouver mes impressions premières sur d’autres formats et sur iPad.
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